Nos identités numériques façonnées par les réseaux sociaux
Nous sommes de plus en plus présents sur les réseaux sociaux tels que Facebook, Twitter, YouTube et LinkedIn. Mais quelles contraintes et logiques façonnent notre identité virtuelle ?
Ceci n’est pas un scoop : la presse quotidienne régionale (PQR) se vend moins. Son lectorat se renouvelant peu, les groupes de presse régionaux tentent, ces dernières années, de palier leur manque d’attractivité en ajustant leur modèle économique.
Les professionnels du cinéma et de l’audiovisuel viennent de réviser les différentes fenêtres d’exploitation des films sortis en salles (DVD, VOD, SVOD, télévision,...). La révolution tant attendue a-t-elle eu lieu ? Pas vraiment, et c’est dommage.
Surveillance, censure, tous les aspects de la vie des Chinois sont plus que jamais suivis à la trace. Le recours à l’intelligence artificielle et au Big Data a permis la mise en place d’un Internet « fermé »permettant un cyber-contrôle totalisant par le pouvoir, digne d’une série de science-fiction...
Les médias sont le porte-étendard de l’ambition chinoise en IA : devenir le leader mondial. Une ambition crédible, qui s’appuie sur des structures numériques innovantes, où coopèrent géants privés du Net et pouvoir d’État. L’IA est à ce jour un outil de puissance économique et martiale, et non de soft power.
Les investissements des sociétés chinoises à l’international dans les médias et l’audiovisuel proviennent essentiellement des géants du numérique, les BATX. Prudents, ils s’appuient d’abord sur leur marché domestique, où ils ont testé leurs innovations et restructuré les médias classiques.
Facebook, un danger pour la démocratie ? Modèle économique hégémonique, pillage des données, manipulations et fake news, contenus haineux… Face au long déni de ses responsabilités de média et aux propos lénifiants de Mark Zuckerberg, la question de ses errements antidémocratiques doit être posée.
La stratégie de Facebook, leader mondial des réseaux sociaux, lui confère une place majeure dans le champ médiatique. Dans le contexte actuel de défiance à l’égard d’Internet et des réseaux sociaux, il est essentiel de se pencher sur les usages informationnels effectifs du plus puissant d’entre eux.
Les médias entretiennent depuis une dizaine d’années avec Facebook une relation tortueuse, basée sur l’économie du clic. Les médias sont passés de l’obsession de l’audience au désenchantement et à la prise de conscience de leur dépendance. Pour Facebook, la désaffection des usagers fragilise son modèle.
Facebook doit faire face à une profonde mutation, son modèle économique reposant sur la publicité et ses ventes de données aux acteurs économiques. L’entreprise est devenue tentaculaire, ses rachats de sociétés, très nombreux. Son image, dégradée, anticipe-t-elle des difficultés à venir ?
En 15 ans, Facebook est devenu l’arène centrale de l’espace public numérique, et Mark Zuckerberg, son patron, l’un des hommes les plus influents de la planète. Influent, mais controversé. Le média de masse le plus populaire accumule les scandales. Plongée dans les coulisses de cette mutation.
Les outils numériques apportent aux rédactions une aide précieuse dans la collecte d’informations. Les hackeurs, bidouilleurs informatiques, s’inscrivent parfois dans un travail journalistique. Entretien avec Jean-Marc Manach, journaliste d’investigation sur les liens entre hackeurs et journalistes.