Depuis le début de la pandémie, les abus contre la liberté de la presse et les journalistes se multiplient partout dans le monde. Si ces atteintes concernent principalement des pays entravant déjà la libre circulation de l’information, comme très récemment au Vietnam où deux journalistes indépendants ont été emprisonnés, on en trouve aussi des exemples dans des pays d’ordinaire moins menaçants.
Depuis dix ans, la Norvège, la Suède et la Finlande occupent les premières places du classement mondial de la liberté de la presse, réalisé chaque année par Reporters sans frontières. Nous avons cherché à comprendre comment ces trois pays se démarquent.
Avec une 24e place au classement mondial de la liberté de la presse de RSF, la Namibie s’offre le luxe de devancer la France, les États-Unis ou encore le Royaume-Uni. Du contexte historique à la situation actuelle, analyse d’une particularité sur le continent africain.
Comment les journaux français se sont-ils positionnés vis à vis de Charlie Hebdo à partir de 2006, date à laquelle il publia les caricatures parues dans le journal danois Jyllands Posten ? Quel positionnement ont adopté, pour leur part, les journaux anglo-saxons ?
Le CSA ne pouvait pas rester sans voix après la couverture médiatique des actes terroristes. Mais sa réaction illustre tout autant son rôle de régulateur que les limites de son pouvoir.
Si l’action du CSA est légitime pour tout ce qui concerne les programmes ou le conventionnement des chaînes et stations, en est-il de même pour l’information ?