Les médias en Corée du Sud : un paysage très spécifique
Libéralisés il y a presque 30 ans, les médias sud-coréens restent marqués par l’opposition à la Corée du Nord et dominés par les chaebols, composant un paysage singulier.
Libéralisés il y a presque 30 ans, les médias sud-coréens restent marqués par l’opposition à la Corée du Nord et dominés par les chaebols, composant un paysage singulier.
Treizième puissance économique mondiale, la Corée du Sud jouit d’une offre médiatique diversifiée et relativement libre. Il n’en a cependant pas toujours été ainsi. Pour comprendre comment s’est développé le paysage médiatique actuel, il est indispensable de s’attarder sur l‘histoire même du pays. Si les médias sud-coréens ont été muselés pendant la majeure partie du XXe siècle, qu’en est-il à présent ? Presse, radio, télévision : quelle influence ont le gouvernement et les chaebols sur les médias ?
George CHERIAN, Free markets free media? : reflections on the political economy of the press in Asia, Asian Media Information and Communication Centre – Nanyang Technological University, 2008.
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Crédits photos :
Capture d'écran du site de KBS
Journaux coréens. Jens Olaf Walter / Flickr
Samsung, Séoul.YoungDoo Moon / Flickr
Après le choc de la Révolution, l’Église catholique et les croyants présents sur le terrain ont dû réinventer le rôle et le sens de leurs « médias ». Depuis, ils n’ont eu de cesse d’investir les moyens de communication et de réagir ou s’adapter aux évolutions de la société.
La guerre ne se déroule pas uniquement sur les champs de bataille. Le conflit qui oppose la Russie à l'Ukraine se joue aussi sur le terrain de l'information. Les opinions publiques mondiales sont au cœur de ce combat, où l'usage des réseaux sociaux fait des internautes de potentiels relais de l'un ou l'autre camp. Décryptage en quatre points des leçons de cette « guerre de l'information ».